Une association toulousaine créée fin 2011 par
Cristina Egas, Équatorienne vivant à Toulouse,
et Juan Pablito, Luc, Anne.
Nous participons depuis la France
à l'action éducative mise en place par la Famille Egas, depuis 28 ans.
et Juan Pablito, Luc, Anne.
Nous participons depuis la France
à l'action éducative mise en place par la Famille Egas, depuis 28 ans.
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Direction Quito !
Depuis la rentrée 2011
nous soutenons
nous soutenons
EVELYN, NICOLE, TATIANA, JOSÉ, ANTONY
pour les épauler jusqu'à la fin des études qu'ils choisiront.NOTRE ENGAGEMENT N'EST PAS SEULEMENT SCOLAIRE
Nous voulons leur donner des possibilités d'épanouissement personnel.
- En juillet-août 2012, avec un budget minime, chaque mardi des sorties culturelles, sportives ou divertissantes ont été organisées et nous continuerons à chaque vacances.
- En octobre 2012, ils auront une pièce à eux chez Dora Egas. Leur bibliothèque y prendra place. Ils pourront aussi y visionner des vidéos.
- En 2013, nous essaierons d'installer un atelier de peinture et de travaux manuels.
Leurs origines indigènes, les placent tout en bas de l'échelle sociale.
Ils sont en train de découvrir leurs racines, et la richesse de la Culture et de la Mythologie Kichua. Par la lecture de contes qui ont pour cadre leurs paysages familiers, mais aussi par la visite du Musée de la Culture Équatorienne qui les a fortement impressionnés.
Nous essayerons de les accompagner, les filles particulièrement, à travers les écueils de l'adolescence et l'éveil de la sexualité.
Enfin nous rêvons de les voir adultes, heureux, compétents, solidaires,
et fiers de ce qu'ils sont.
et fiers de ce qu'ils sont.
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"J'ai reçu le mail que j'attendais depuis plusieurs jours.
Et c'est ainsi que José, puis Evelyn et Nicole,
Afin de perpétuer sa mémoire, ses filles depuis 28 ans
ont permis chaque année, à quelques
enfants de continuer à aller en classe.
"J'ai reçu le mail que j'attendais depuis plusieurs jours.
Il y avait son nom, José, et son
histoire.
Ce fut un moment très
émouvant.
J'en ai eu les larmes aux yeux.
Dora aussi, à Quito, était très émue,
et plus encore quand elle dut
retourner à l'école 8 jours plus tard, pour trouver deux filles."
ont rejoint
Tatiana et Antony.
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Tatiana et Antony.
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Ensuite, entre Toulouse et Quito l'entente a été immédiate. Le sentiment privilégié d'appartenir,